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Ce qu’il faut savoir sur la fosse septique

Si vous avez acheté récemment votre première maison à la campagne, vous avez probablement bien des questions au sujet de la fosse septique, n’est-ce pas ? Soyez sans crainte : cet article répond aux questions les plus courantes concernant les fosses septiques.

Qu’est-ce qu’une fosse septique ?

Quand une maison n’est pas reliée à un service municipal d’égouts, il faut installer une fosse septique. Il s’agit d’un réservoir enfoui dans le sol à proximité de votre maison.

Le principe commun à toutes les fosses septiques est le suivant : les eaux usées sont envoyées dans ce réservoir où les bactéries transforment les résidus liquides ou semi-liquides. Les liquides sont évacués par des tuyaux vers un champ de drainage. Les matières liquéfiées sont évacuées à l’aide de tuyaux percés. Il ne reste plus dans le fond du réservoir qu’une boue qui doit être retirée pour éviter que la fosse septique se bouche.

À quelle fréquence faut-il faire nettoyer la fosse septique ?

En fonction de l’utilisation, la fosse septique doit être vidée tous les deux, trois ou quatre ans. S’il s’agit de votre résidence principale, la loi québécoise exige une vidange aux deux ans. S’il s’agit plutôt d’un chalet ou d’une résidence secondaire, vous pouvez attendre un peu plus longtemps.

Attention : plusieurs municipalités ont des exigences précises concernant les fosses septiques. Assurez-vous de vérifier ce qu’il en est dans votre cas.

Quand faut-il changer la fosse septique ?

Les fosses septiques ont une durée de vie de 20 à 25 ans.

Comment peut-on savoir s’il est temps de vider la fosse septique ?

Vous pouvez ouvrir une trappe qui recouvre votre fosse septique et y descendre un bâton pour connaître le niveau de résidus accumulés. Si le niveau dépasse la moitié de la hauteur, il est temps de faire appel à des spécialistes du vidage des fosses septiques.

Mais vous devez aussi être attentifs à différents signes que votre fosse septique est pleine :

  • l’eau (ou les résidus) s’écoule plus lentement dans vos drains ;
  • vous remarquez des refoulements d’eau dans la douche ou les éviers ;
  • les drains dégagent des odeurs désagréables ;
  • le gazon qui recouvre la fosse septique est plus vert ou croît plus vite que normal (le trop-plein de la fosse septique lui donne plus d’eau) ;
  • le sol est détrempé aux alentours de la fosse ;
  • il y a une croissance anormale d’algues dans les ruisseaux ou cours d’eau près de votre terrain (les détergents peuvent favoriser la croissance des algues).

Attention : si vous entendez des bruits d’écoulement en vidant la laveuse ou une baignoire, il se peut que l’évacuation soit bouchée.

Rappelez-vous qu’un vidage périodique est la meilleure méthode pour éviter des problèmes avec votre fosse septique.

Quelles sont les précautions à prendre pour maintenir une fosse septique en bon état et assurer son efficacité ?

En plus de procéder régulièrement à un vidage, il est prudent de :

  • ne pas installer une structure lourde ou circuler avec un véhicule sur le terrain d’une fosse septique ;
  • ne pas jeter dans les toilettes de mouchoirs, tampons hygiéniques et autres produits qui se décomposent plus difficilement ;
  • restreindre l’utilisation de produits nettoyants chimiques ;
  • ne pas jeter dans les drains de graisses ou d’huiles, de peintures, etc.

La fosse septique a besoin de micro-organismes pour « digérer » les matières qu’on y dépose. Il faut donc éviter d’y jeter tout produit qui nuirait à leur efficacité.

Si vous avez une fosse septique, voici ce qu’il faut retenir : vous devez faire attention à ce que vous y jetez, la vidanger régulièrement et rester attentif à tout signe de problèmes.

Source : blogue de Cenris : https://www.centris.ca/fr/blogue/astuces-et-deco/ce-qu-il-faut-savoir-sur-la-fosse-septique?uc=0

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Comment le prix de vente d’une maison est-il fixé ?

Le prix de vente d’une maison est un facteur déterminant dans le succès de votre transaction immobilière. Plus il est juste, plus vous aurez de chances de vendre rapidement en réalisant le meilleur profit possible.

En effet, si le prix de vente de votre propriété est plus haut que sa valeur sur le marché, le processus sera long, voire impossible. Au contraire, s’il est trop bas, vous vendrez facilement, mais avec un profit moindre.

Le marché immobilier local, la demande, l’évaluation municipale, l’état ou l’âge de la maison… Quels sont les éléments pris en compte pour calculer la valeur d’une résidence ?

Voici comment les courtiers immobiliers et leurs équipes s’y prennent.

Le prix de vente d’une propriété, ça se calcule… en se comparant !

Les courtiers immobiliers utilisent surtout la technique des comparables pour établir la valeur d’une propriété. Cette méthode éprouvée permet d’avoir un prix qui reflète plutôt bien l’état actuel du marché.

Les comparables tiennent compte des prix des autres maisons en vente ou récemment vendues dans le même secteur. Votre courtier immobilier recherchera des propriétés similaires à la vôtre pour comparer leur prix de vente et ainsi arriver à fixer la juste valeur de votre maison.

Pour déterminer si une autre résidence est « comparable » à la vôtre, il se base sur une liste de critères :

  • Le secteur, qui doit nécessairement être le même ;
  • La dimension du bâtiment et du terrain ;
  • La superficie habitable et le nombre de pièces ;
  • La qualité de la finition des pièces ;
  • La qualité de l’enveloppe du bâtiment (revêtement, toit, fondation, fenêtres, etc.).

Et l’évaluation municipale dans tout ça ?

La plupart du temps, l’évaluation municipale ne reflète pas la réalité du marché actuel. Même si elle peut donner une idée approximative du prix d’une propriété, elle ne doit pas être considérée comme un critère sûr.

Fixer le prix de vente d’une maison nécessite un jugement objectif.

L’attachement que vous portez à votre propriété n’a aucun impact sur son prix de vente, et ce dernier n’est jamais inscrit au hasard.

Pour être le plus juste possible, le prix de vente se fixe d’après un calcul objectif. Faites confiance à l’expertise de votre courtier immobilier. Il possède tous les outils et les connaissances nécessaires pour déterminer le meilleur prix de ventre pour votre propriété.

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Pourquoi est-il important de ramoner la cheminée ?

Vous souhaitez faire ramoner votre cheminée ou songez à procéder vous-même à cette opération ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur le ramonage d’une cheminée afin de vous assurer qu’il soit réalisé en toute sécurité et dans les règles de l’art.

En quoi consiste le ramonage d’une cheminée ?

Ramoner une cheminée consiste principalement à l’entretien de ses parois et de son système d’évacuation de la fumée. Négliger cette opération peut vous faire encourir des risques sérieux pour votre santé, votre sécurité et nuire à l’environnement.

Quand ramoner la cheminée ?

Le meilleur moment pour ramoner une cheminée est au printemps, et certains propriétaires procèdent à un deuxième ramonage avant le début de l’hiver. Au printemps, des débris de créosote et de suie peuvent s’être déposés sur les parois de la cheminée après une longue saison de chauffage; or, ces matières sont hautement inflammables. A ce moment de l’année, les dépôts sont assez secs donc plus faciles à dégager. Vérifiez avec votre municipalité pour savoir si vous devez effectuer un ramonage de votre cheminée plus d’une fois par an. La réglementation municipale varie à ce sujet.

Les conséquences d’une cheminée non entretenue

Ramoner une cheminée est essentiel pour prévenir les intoxications dues au monoxyde de carbone et éviter les incendies. Il permet également une bonne circulation et évacuation des gaz et de la fumée. La créosote, en particulier, est une substance nocive, cancérigène, qui affecte négativement votre santé et celle de l’environnement. C’est donc une question primordiale de sécurité et de santé, qu’il ne faut jamais négliger.

Le faire soi-même ou s’adresser à un spécialiste ?

Le ramonage nécessite de l’expérience et il faut disposer de l’outillage nécessaire pour procéder soi-même* efficacement à cette tâche. Ramoner une cheminée de manière inappropriée comporte des risques que vous pouvez éviter en faisant appel à un spécialiste. Cette opération ne se limite pas à un brossage énergétique des parois de la cheminée. Il faut pouvoir vérifier l’état du système de chauffage global, nettoyer chacune des pièces et composantes; sans oublier qu’un ajustement de celles-ci est souvent nécessaire. L’utilisation d’additifs chimiques ou de bûches dites « de ramonage » ne remplacera jamais un ramonage effectué par un professionnel agréé. En ayant recours aux services d’un professionnel, celui-ci pourra se rendre compte d’un problème éventuel, le cas échéant, et le corriger à temps, en prévision de la prochaine saison de chauffage.

* Note : si vous comptez ramoner vous-même votre cheminée, n’oubliez pas de faire nettoyer son système d’évacuation (au moins à tous les trois ans, par un spécialiste).

Source : blogue de Centris :
https://www.centris.ca/fr/blogue/astuces-et-deco/pourquoi-est-il-important-de-ramoner-la-cheminee

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Comment assainir un vide sanitaire ?

Un vide sanitaire trop humide peut affecter la santé des occupants d’un habitat ainsi que la structure de bois du bâtiment. Découvrez comment garder votre vide sanitaire salubre et bien isolé.

À qui sert un vide sanitaire ?

Un grand nombre de maisons anciennes ont été construites sur un vide sanitaire. Les matières isolantes étant alors plus limitées, cette solution semblait la plus logique pour créer un espace entre le sol et la maison, sous le premier plancher de l’habitation. Le vide sanitaire en terre naturelle sert principalement à empêcher que l’humidité du sol imprègne les murs et y forme de la condensation. Il assure également la stabilité du bâtiment en cas de séisme. La ventilation adéquate du vide sanitaire est essentielle pour qu’il puisse remplir ses fonctions.

Comment avoir un vide sanitaire sain ?

Plusieurs options s’offrent à vous pour assainir un vide sanitaire : la ventilation naturelle, la ventilation mécanique, la déshumidification. La première option consiste à créer des courants d’air qui circulent par des bouches d’aération (claustras grillagés, courette ou tube avec grillage en PVC ou en inox). Pour créer une ventilation mécanique, il faut recourir à un ventilateur (ou une VMC) équipé de conduits d’aération. C’est une bonne solution pour introduire de l’air propre et évacuer l’air vicié. Idéalement, privilégiez un système de ventilation automatique qui s’actionne pendant 20 minutes à toutes les heures.

Lorsque ces mesures ne suffisent pas à renouveler l’air de façon efficace, la mise en place d’un déshumidificateur dans le vide sanitaire s’avère la meilleure solution. Il peut être utile également d’installer une couche de mousse de polyuréthane régulier ou expansé, ou encore de la laine de verre pour isoler davantage cet espace. L’ajout d’un pare-vapeur sur le sol contribue à ce qu’il ne se forme pas de condensation humide sous le plancher. Assurez-vous également de la qualité d’isolation des murs.

Quels problèmes peut causer un vide sanitaire trop humide ?

Un vide sanitaire trop humide, qui a développé des moisissures, favorise la circulation de spores dans l’air de la maison. Celles-ci peuvent causer des allergies et des problèmes respiratoires chez ses occupants. Une structure endommagée par la condensation peut générer des zones de pourriture du bois; ce qui risque de créer des affaissements dans les portes, les fenêtres, les planchers et les parements extérieurs de la maison. La présence élevée d’insectes, les mauvaises odeurs et une facture d’énergie plus élevée constituent d’autres inconvénients non souhaitables.

Si vous notez des signes de contamination (champignons, moisissures, efflorescences…) dans votre vide-sanitaire, il sera important de faire appel rapidement à un professionnel de la décontamination, pour que cette situation n’affecte pas votre santé, celle des autres occupants, et l’intégrité de votre bâtiment.

Source : blogue de Centris :
https://blog.source.immo/comment-assainir-un-vide-sanitaire/

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5 principes de base pour investir en immobilier

L’engouement actuel pour l’immobilier ne dérougit pas. De plus en plus de personnes souhaitent investir en immobilier et avoir leur part du gâteau. Or, c’est plus facile à dire qu’à faire ! Pour réussir dans ce domaine complexe, les investisseurs en devenir doivent posséder les connaissances nécessaires pour bien démarrer leur projet et rentabiliser leurs acquisitions.

Voici 5 principes de base pour vous guider dans la grande aventure qu’est l’investissement immobilier.

1. Investir en immobilier en fonction de sa situation

L’investissement immobilier peut convenir à plusieurs types de personnes visant différents objectifs, tels qu’un profit rapide, un fonds pour la retraite, le développement d’une entreprise ou des revenus passifs.

C’est la situation personnelle de chacun qui détermine la meilleure approche pour y arriver. Certains facteurs influencent nécessairement votre stratégie d’investissement immobilier. Par exemple :

  • Votre âge
  • Vos liquidités disponibles
  • Vos revenus
  • Votre santé financière (particulièrement votre cote de crédit)
  • Votre personnalité et vos aptitudes

Malgré votre ambition, ces éléments peuvent avoir un impact non négligeable sur la faisabilité et la rentabilité de votre projet. Il est donc important de les considérer lors de votre réflexion initiale.

2. Choisir un type d’habitation et s’y tenir

Unités locatives à court terme, plex, locaux commerciaux, terrains, résidences pour personnes âgées : il existe une multitude de biens immobiliers qui peuvent servir à faire vos premières armes dans l’investissement immobilier.

Toutefois, il est important de choisir un créneau spécifique et de s’y consacrer, du moins au début de votre carrière d’investisseur. De cette façon, vous acquerrez plus rapidement les compétences et les connaissances nécessaires pour réussir avec le type de bâtiments choisi. Perfectionnez d’abord vos compétences pour bien saisir les opportunités et administrer vos premiers immeubles efficacement. Au fil du temps, vous pourrez diversifier votre parc immobilier avec plus de confiance, si cela convient à votre stratégie d’investissement.

Les personnes qui veulent investir dans l’immobilier commencent, pour la plupart, avec l’achat d’un petit multilogement, allant d’un duplex à un bloc de 8 appartements. Leur acquisition est relativement simple : ils sont généralement nombreux sur le marché et accessibles à des prix intéressants, surtout hors des grands centres urbains.

3. Bien connaître le secteur où l’on veut investir

Chaque ville, chaque quartier, chaque secteur possède ses spécificités, incluant la valeur des immeubles, le type de clientèle et les attraits qu’on y retrouve. Pour investir de manière judicieuse, il est important de bien choisir l’emplacement de vos actifs immobiliers. Par exemple, un secteur donné pourrait contenir des édifices plus abordables, mais un autre affichant des prix plus élevés pourrait vous rapporter davantage au bout du compte.

Pour vous y retrouver, rien de mieux que de choisir un courtier immobilier qui connaît bien les particularités du secteur où vous souhaitez acquérir un immeuble. Il pourra vous dresser un portrait du quartier en question et voir s’il convient à votre situation.

4. Déterminer sa stratégie d’investissement

Avant d’investir en immobilier, vous devez déterminer votre objectif et votre stratégie d’investissement.

Souhaitez-vous un investissement à court terme ? Le flip pourrait être une bonne option. Il consiste à acheter une propriété qui nécessite quelques rénovations, à la revamper au goût du marché et à la revendre rapidement clé en main, à profit.

Vous pourriez aussi développer une stratégie d’investissement à long terme, qui vous permettrait d’empocher un profit beaucoup plus important, mais après 10, 20 ou 30 ans.

Bref, il n’y a pas qu’une bonne façon d’investir en immobilier. Il suffit de trouver celle qui convient le mieux à votre profil d’investisseur. Par la suite, vous pourrez établir votre budget et trouver les leviers de financement possibles pour votre projet d’investissement. Même si la mise de fonds reste le meilleur moyen pour accéder à la propriété, il existe d’autres options pour acquérir des immeubles à revenus.

5. Bien s’entourer

Peu importe le domaine, les entrepreneurs qui réussissent le mieux sont ceux qui savent s’entourer des bonnes personnes. Et l’immobilier ne fait pas exception à la règle ! Ainsi, que vous possédiez un ou plusieurs bâtiments, pensez à vous constituer une équipe de professionnels multidisciplinaires qui pourront vous appuyer dans vos opérations courantes : courtier immobilier, partenaire d’affaires, entrepreneur en construction, conseiller financier, comptable, fiscaliste, avocat, notaire. En affaires, c’est toujours gagnant d’avoir un carnet d’adresses bien garni.

En terminant, rappelez-vous que devenir un investisseur immobilier à succès demande des compétences variées qui s’acquièrent avec l’expérience. Grand connaisseur et passionné du domaine, votre courtier immobilier commercial vous accompagnera avec plaisir au cours de votre processus d’apprentissage.

Bon investissement!

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Ce qu’il faut faire avant de partir en vacances

Quand on s’apprête à partir en vacances, il est facile de tout oublier ! Voici pourquoi nous avons préparé pour vous un aide-mémoire de choses à faire dans la maison, avant votre départ.

La liste inclut autant des mesures de sécurité que le ménage de la maison, parce que, à votre retour, vous aimerez certainement retrouver tous vos biens et une maison bien rangée !

Pour assurer la sécurité de votre demeure et de vos biens :

  • Avertissez votre assureur si vous pensez être absent plus de 30 jours.
  • Demandez à une personne de confiance de venir vérifier l’état de la maison au moins une fois par semaine. La même personne peut arroser les plantes. N’oubliez pas de lui donner une clé de la maison et de lui donner l’information requise pour vous joindre, en cas de nécessité.
  • Avertissez vos voisins que vous serez absent pendant plusieurs jours ou semaines.
  • Demandez à un voisin de ramasser votre courrier et les feuillets publicitaires laissés à votre porte.
  • Mettez sur pause la livraison du journal si vous le faites livrer à la porte.
  • Attention : n’annoncez pas votre départ sur les réseaux sociaux ; les voleurs sont attentifs à ce genre de signaux.
  • Rangez vos documents importants dans un coffre ou confiez-les à quelqu’un de confiance.
  • Prenez des photos de votre maison et de vos biens les plus précieux.
  • Installez une minuterie électronique pour allumer et éteindre certaines lampes dans votre maison (les laisser allumées tout le temps ne fonctionne pas).
  • Faites installer une alarme ou assurez-vous que votre alarme fonctionne.
  • Demandez à un voisin de stationner son auto dans votre cour.
  • Rangez vos meubles de jardin, barbecue et vélos

Pour éviter les mauvaises surprises :

  • Fermez l’entrée d’eau et éteignez votre chauffe-eau.
  • Coupez le gaz.
  • Débranchez vos appareils électroniques.
  • Vérifiez que toutes les fenêtres sont bien fermées et que les portes sont bien verrouillées.
  • Videz toutes les poubelles et demandez à quelqu’un de mettre les sacs de poubelle au chemin au bon moment.
  • Si vous avez des animaux de compagnie, confiez-les à quelqu’un de confiance. Assurez-vous de lui donner des instructions claires sur ce qu’il faut faire en cas d’urgence médicale s’il ne peut vous joindre (quel montant peut être dépensé en soins, par exemple).
  • Si vous avez une piscine ou un spa chauffés, abaissez la température.
  • Videz le bac de glace de votre réfrigérateur pour éviter un écoulement d’eau de la fonte en cas de panne électrique.
  • Assurez-vous de payer tous vos comptes.
  • Verser du bicarbonate de soude ou un produit spécialisé dans la cuvette de toilette et les drains pour éviter les odeurs.

Pour que le retour soit plus agréable :

  • Faites le ménage avant de partir, afin de revenir dans une maison propre et en ordre.
  • Ne laissez pas de vaisselle sale dans l’évier ou sur le comptoir.
  • Videz votre réfrigérateur de tout ce qui ne sera plus bon à votre retour.
  • Lavez vos draps pour dormir dans des draps propres pour votre première nuit !

Cet aide-mémoire ne couvre que ce qui concerne la maison, mais une fois que vous aurez coché tout ce qui est inscrit, vous pourrez partir en paix, c’est promis !

SOURCE : BLOGUE DE CENTRIS : https://www.centris.ca/fr/blogue/astuces-et-deco/ce-qu-il-faut-faire-avant-de-partir-en-vacances?uc=0

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Accélération généralisée de la hausse des prix dans la région de Québec : le prix médian des plex bondit et celui des copropriétés atteint le niveau du dernier sommet de 2013

Québec, le 2 juin 2021 – L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) dévoile ses données pour le mois de mai. Les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Québec sont établies d’après la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers.

  • Note importante : plusieurs des statistiques du mois de mai 2020 ne sont pas représentatives, en raison de la mise en pause exceptionnelle de l’activité transactionnelle et des nouvelles mises en marché des propriétés durant cette période. La variation est calculée par rapport à mai 2019, à titre informatif. Toutefois, le mois de mai 2020 demeure une référence valide pour déterminer la variation des prix médians et celle des inscriptions en vigueur.

« À l’image de ce qui se passe ailleurs dans la province, la copropriété et les plex continuent de bénéficier d’un intérêt en forte croissance des ménages et des investisseurs alors que le niveau de prix et le manque de disponibilité des unifamiliales rebutent de plus en plus les acheteurs », remarque Charles Brant, directeur du service de l’analyse du marché de l’APCIQ. « La chute rapide des inscriptions en vigueur et la surchauffe du marché qui en résulte s’étend maintenant à tous les types de propriétés, ce qui contribue au ralentissement des ventes sur le marché de Québec après plusieurs mois de très forte activité », ajoute-t-il.

Faits saillants du mois de mai

  • Ventes totales : 897 ventes, un nouveau record de transactions pour un mois de mai depuis que les statistiques sont compilées par le système Centris des courtiers immobiliers. Il s’agit toutefois d’une hausse modeste de 4 % par rapport à mai 2019.
  • La Rive-Sud s’est démarquée en mai en enregistrant la plus forte augmentation d’activité, avec 166 ventes (+14 % par rapport à mai 2019), suivie par l’Agglomération de Québec, où 624 transactions ont été réalisées (+5 % par rapport à mai 2019). La périphérie Nord de Québec a quant à elle vu son niveau de ventes diminuer de 11 % comparativement à mai 2019, avec 120 ventes.
  • Ventes par catégorie de propriétés : 269 transactions de copropriétés ont été conclues (+29 % par rapport à mai 2019) et 82 ventes de petits immeubles locatifs (+22 % par rapport à mai 2019), soit des sommets d’activité pour ces deux segments. Les ventes d’unifamiliales (545 ventes) ont plutôt reculé de 7 % par rapport à mai 2019.
  • Comparativement à mai 2020, l’offre de maisons unifamiliales continue d’enregistrer une chute importante (-45 %), ce qui resserre davantage les conditions de marché en faveur des vendeurs et favorise les situations de surchauffe et de surenchère dans plusieurs secteurs. Pour le plex et la copropriété, les inscriptions en vigueur ont fléchi de respectivement 15 % et 36 %.
  • Le prix médian de l’unifamiliale a encore progressé dans la RMR de Québec et s’établit désormais à 310 250 $, soit 16 % de plus qu’un an auparavant. La copropriété et le plex ont de leur côté vu leur prix médian respectif bondir à 210 000 $ (+15 %) et 375 250 $ (+32 %).

Source : Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec : https://apciq.ca/acceleration-generalisee-de-la-hausse-des-prix-dans-la-region-de-quebec-le-prix-median-des-plex-bondit-et-celui-des-coproprietes-atteint-le-niveau-du-dernier-sommet-de-2013/

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La thermopompe, une valeur ajoutée

Au Québec, c’est l’hydroélectricité qui chauffe la majorité de nos maisons. Il fait aussi froid l’hiver qu’il fait chaud l’été, c’est le bonheur des écarts de température. Le système de chauffage avec plinthes électriques est probablement le plus populaire puisqu’il est le moins coûteux à l’achat. Mais la thermopompe, bien que plus dispendieuse au départ, comporte de nombreux avantages. Parlons-en !

Qu’est-ce qu’une thermopompe?

Une thermopompe est le gros appareil qu’on voit souvent sur le côté d’une maison. La thermopompe à air/air est l’appareil le plus fréquemment installé dans une propriété. Il en existe à air/eau qui peut également chauffer l’eau de la maison, mais nous ne parlerons pas de cette gamme.

Comment ça fonctionne?

Grosso modo, en mode chauffage, la thermopompe absorbe la chaleur qui se trouve dans l’air extérieur, l’envoi dans la maison et un ventilateur propulse cette chaleur dans les pièces.

Selon les modèles, lorsque les températures chutent entre -12  °C et -25 °C, la thermopompe aura besoin d’un petit coup de main de la fournaise ou d’une chaudière. Bien que la thermopompe soit efficace, elle ne peut être seule à nous réchauffer l’hiver. Si vous optez pour un système central, la thermopompe s’arrêtera et la fournaise prendra le relais automatiquement. Avec une unité murale, vous devrez passer manuellement à un autre type de chauffage comme les plinthes électriques.

Toute l’année

Le principal avantage de la thermopompe est que vous pouvez vous en servir toute l’année. À l’hiver pour le chauffage et à l’été pour la climatisation. À l’hiver, une thermopompe transfère la chaleur récupérée dans l’air extérieur vers l’intérieur de la maison. À l’été, la thermopompe inverse le tout pour envoyer l’air frais dans la maison.

Si vous hésitez entre un climatiseur et une thermopompe, sachez que cette dernière est plus pratique. Un climatiseur ne transfère que l’air froid, alors qu’une thermopompe transfère l’air chaud autant que l’air froid. Vous obtenez donc un 2 en 1!

Efficacité énergétique et économie

Parlons de l’efficacité et des coûts!

Le coefficient de performance, ça vous dit quelque chose? Une thermopompe a environ un CP de 3. Ce qui veut dire qu’avec une consommation de 1 kWh d’électricité, la thermopompe extrait 2 kWh de l’air extérieur et obtient 3 kWh d’énergie pour le chauffage. En fait, l’idée est de faire plus avec moins.

Voilà pourquoi les coûts d’électricité pour une thermopompe sont moins élevés que pour un chauffage avec uniquement des plinthes électriques. La thermopompe consomme moins d’énergie, mais notre confort est accru. Sans oublier que vous amortirez rapidement le coût d’achat du départ grâce à ces économies.

Installation et entretien

Il est tout à fait possible d’installer une thermopompe dans une maison même s’il n’y en avait pas au départ. Contactez un entrepreneur certifié, plusieurs facteurs techniques entrent en ligne de compte. Ce n’est certainement pas le temps de sortir vos talents de bricoleur!

Prêts pour une thermopompe? Il existe différents programmes de subvention qui offre une aide financière pour les propriétaires qui souhaitent remplacer ou installer une thermopompe.

Lorsque vous magasinerez votre nouveau système, pensez à vérifier l’étiquette ÉnerGuide et choisissez un produit Energy Star pour un meilleur rendement énergétique.

Source : blogue de Centris :
https://www.centris.ca/fr/blogue/ecolo/la-thermopompe-une-valeur-ajoutee