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Gestion immobilière : déléguer la gestion de multilogements

L’immobilier locatif est un investissement intéressant qui peut être très profitable à long terme. Par contre, la gestion des immeubles et des locataires demande beaucoup de temps et d’énergie. Cette exigence décourage souvent les investisseurs à poursuivre la croissance de leur parc immobilier.

Or, il existe des entreprises de gestion immobilière à qui les propriétaires peuvent déléguer la gestion de leurs multilogements. Spécialisées dans la prise en charge des immeubles locatifs, ces dernières répondent directement à un besoin croissant du marché : délester les investisseurs immobiliers des opérations courantes pour lesquelles ils n’ont pas le temps ou les connaissances nécessaires.

Comment fonctionne une entreprise de gestion de multilogements?

Les entreprises de gestion de multilogements proposent des formules flexibles qui peuvent être adaptées aux besoins des propriétaires, selon leur niveau de connaissances et d’implication souhaité. Ainsi, le propriétaire d’immeubles locatifs peut déléguer la gestion complète ou partielle de son parc immobilier à des gestionnaires professionnels compétents.

Les services offerts par les entreprises de gestion immobilière sont variés, allant de l’entretien des bâtiments à la gestion des locataires, y compris l’affichage et la promotion des logements vacants et la collecte mensuelle des loyers. Elles peuvent même représenter le propriétaire devant le Tribunal administratif du logement (TAL).

La rémunération des entreprises de gestion immobilière est calculée selon un pourcentage du revenu brut de l’immeuble. Ce dernier est d’environ 5%, mais il peut varier de quelques points en fonction des opérations de gestion prises en charge.

Pourquoi faire appel à une entreprise de gestion immobilière?

De la recherche de nouveaux locataires à la gestion des plaintes, s’occuper d’un immeuble locatif demande une grande disponibilité, surtout en cas d’urgence. Le recours à des gestionnaires immobiliers professionnels permet aux investisseurs de saisir une occasion en or, sans avoir peur de la charge de travail qui pourrait en découler.

C’est une option particulièrement intéressante pour les jeunes investisseurs, qui ont souvent une famille et une carrière prenant tout leur temps. Ils peuvent ainsi se concentrer sur leurs activités principales et profiter, plus tard, de leur retour sur investissement.

C’est également une bonne solution pour les propriétaires de plusieurs multilogements qui, au fil des années, veulent réduire leur charge de travail tout en continuant à toucher un revenu locatif.

Bref, la charge de travail que représente la gestion locative ne devrait pas freiner votre rêve de posséder un parc immobilier. Les entreprises de gestion immobilière sont présentes dans presque toutes les régions du Québec pour vous accompagner dans la gestion de vos multilogements.

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Le ménage du printemps : essentiel pour préparer la vente d’une maison

S’il y a bien un rêve partagé par tous les vendeurs, c’est que leur propriété se vende rapidement et au meilleur prix possible. Mais comment maximiser vos chances d’y arriver sans investir une énorme somme en rénovations? L’article qui suit vous aidera à y parvenir, à condition que les problèmes majeurs susceptibles d’être révélés lors d’une inspection préachat aient déjà été corrigé [1].

1. Nettoyer, ranger et désencombrer sa maison

Le printemps est une période favorable pour vendre votre maison, mais tout d’abord, un bon ménage s’impose! D’ailleurs, près de 36 % des acheteurs potentiels seraient prêts à payer plus cher pour une propriété bien entretenue et bien décorée[2].

Pensez donc à désencombrer votre maison le plus possible afin de réduire le nombre d’objets qui se retrouveront à la vue des acheteurs potentiels, tout en maximisant les fonctionnalités de chacune des pièces. Prioritairement, pensez à retirer[3] :

  • Les bibelots et les livres qui sont dans la bibliothèque
  • Les jouets des enfants qui sont éparpillés
  • Les éléments non essentiels qui sont sur le comptoir de la cuisine
  • Les accessoires de bureau qui ne sont pas utilisés

En prime, vous ferez une pierre deux coups et commencerez à préparer votre déménagement en rangeant les articles qui sont peu fréquemment utilisés!

2. Dépersonnaliser au maximum

L’objectif de la dépersonnalisation s’oppose à celui de la décoration intérieure et vise à ce que les acheteurs potentiels puissent facilement visualiser leurs biens dans l’espace qui se trouve devant eux[4]. Cette étape consiste principalement à retirer tous vos effets personnels des surfaces et des meubles, comme[5] :

  • Les photos de famille
  • Les brosses à dents
  • Les serviettes superflues
  • Les objets de votre animal de compagnie

Ainsi, un espace neutre sera beaucoup plus séduisant qu’un espace chargé et contribuera à ce que les futurs acheteurs s’y projettent plus facilement.

3. Réaliser quelques travaux de home staging

La mise en valeur d’une propriété vise à la rendre intéressante auprès des acheteurs en valorisant ses points forts et en atténuant les aspects les moins séduisants. L’objectif? Créer un coup de cœur auprès des visiteurs en leur démontrant qu’ils n’auront pas de gros travaux à entreprendre avant d’emménager[6].

Toutefois, la décoration n’est pas le premier élément évalué lors d’un projet de home staging. Selon Catherine Routhier, une spécialiste dans le domaine, la valorisation résidentielle devrait s’articuler autour de trois principaux éléments[7] :

  • L’espace mur et plancher
  • La luminosité
  • L’ambiance

Ainsi, selon elle, les deux plus importants retours sur investissements sont la peinture et les luminaires : des améliorations qui ne coûtent pas une fortune et qui permettront d’améliorer grandement le premier coup d’œil[8].

Dans certains cas, il pourrait également être judicieux de prévoir un petit budget pour la location mensuelle de meubles et d’accessoires, par exemple. En outre, ce montant ne devrait pas être perçu comme une dépense, mais plutôt comme un investissement qui influencera le prix et le temps de vente de votre propriété[9].

4. Entretenir l’extérieur

Finalement, ne négligez pas l’aspect extérieur de votre propriété. Après tout, c’est la première chose que verront les futurs acheteurs en apercevant votre maison! Quelques trucs simples et peu coûteux vous permettront de faire bonne impression, par exemple :

  • Le gazon fraîchement coupé
  • Le jardin bien entretenu
  • Les fleurs disposées ici et là
  • Les meubles de patio en bon état

Si vous hésitez quant aux améliorations à apporter, consultez un courtier immobilier pour obtenir l’heure juste. Bien souvent, les modifications suggérées seront mineures et peu coûteuses, ce qui vous permettra de maximiser votre investissement au moment de vendre votre maison.

Source : blogue de Centris : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/le-menage-du-printemps-essentiel-pour-preparer-la-vente-d-une-maison?uc=1

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11 plantes pour un balcon ensoleillé

Si vous songez à habiller votre balcon de verdure, il faut vous assurer de choisir des plantes pour balcon ensoleillé. Voici quelques idées pour aménager un petit jardin de plantes sur un balcon en plein soleil.

Ombre et hydratation

Le site français Jardiland offre de bons conseils pour préparer votre balcon à accueillir des plantes. Le premier : créez de l’ombre, autant que possible. Certaines plantes plus hautes ou des plantes grimpantes peuvent offrir un répit du soleil et du vent pour d’autres plantes plus fragiles.

Puis, conseille le site, utilisez des bols profonds, parce qu’ils resteront humides plus longtemps. N’hésitez pas à couvrir la terre de paillis, toujours afin de conserver l’humidité dans le sol.

Finalement, si cela est possible, installez un système d’arrosage automatique, afin de vous assurer de maintenir le degré d’humidité requis. Un système automatique prendra aussi en charge l’arrosage des plantes au balcon pendant vos vacances.

Des plantes pour balcon ensoleillé

Quel légume planter sur un balcon plein soleil? Quand planter des tomates cerises sur le balcon? Quelles plantes pas chères sont adaptées pour un balcon? Consulter le personnel d’un centre jardin vous aidera à obtenir des réponses à ces questions.

Quelles sont les meilleures plantes pour un balcon ensoleillé? Voici 11 suggestions :

  1. Les géraniums font l’unanimité pour un balcon plein sud, parce que ces fleurs aiment le soleil et résistent bien au vent.
  2. Les célosies ajoutent de la couleur à un balcon!
  3. Les pétunias profitent mieux d’un fort ensoleillement.
  4. Les pensées aiment regarder le soleil le matin et profiter d’un peu d’ombre en après-midi.
  5. Les tomates cerises sont savoureuses, chauffées par le soleil.
  6. La lavande est magnifique et parfume les alentours.
  7. La citronnelle pousse très bien en plein soleil, comme plusieurs autres fines herbes.
  8. L’origan est une autre herbe qui aime le soleil et qu’il est très utile d’avoir sous la main quand on cuisine.
  9. Le laurier-rose affiche une belle fleur, très décorative.
  10. Le très joli héliotrope aime le soleil, mais a besoin d’ombre au milieu de la journée.
  11. Les haricots, qui poussent dans une jardinière en suspension sur un balcon.

Surtout, n’hésitez pas à consulter un expert dans un centre jardin. Vous pourrez ainsi recevoir des conseils adaptés à votre balcon, à votre climat local et à l’ensoleillement que votre balcon reçoit.

Source : blogue de Centris : https://www.centris.ca/fr/blogue/ecolo/11-plantes-pour-un-balcon-ensoleille?uc=0

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Le traitement des arbres fruitiers en quatre questions

Le climat du Québec ne convient pas aux bananes, mais on peut facilement y cultiver des pommes, des poires, des prunes et des raisins. Le traitement des arbres fruitiers est évidemment différent de celui d’un érable ou d’un sapin. Voici ce qu’il faut savoir pour orner son jardin d’arbres et d’arbustes qui produiront des fruits.

1. Quels arbres fruitiers peut-on planter chez soi?

Chaque région a son propre climat : l’Abitibi et la Montérégie offrent des conditions très différentes pour la culture. Vous devez donc choisir des arbres réellement résistants au climat de votre région et votre zone de rusticité, rappelle le site de la Pépinière Aux Arbres Fruitiers. La plupart des pépinières pourront vous conseiller sur les arbres fruitiers qui peuvent survivre et produire des fruits malgré votre climat.

En plus des pommiers, poiriers, abricotiers, pruniers et vignes à raisin, vous pouvez aussi planter des arbres et arbustes qui vous offriront de petits fruits, comme l’amélanchier, le sureau, etc.

2. Quand et où faut-il planter un arbre fruitier?

Comme le souligne un site du gouvernement du Québec, les arbres fruitiers ont habituellement besoin d’un sol bien drainé et de beaucoup de soleil. Avant d’aller de l’avant, il est important de bien se renseigner.

Si vous désirez planter un pommier, les Producteurs de pomme du Québec mettent à votre disposition un guide sur la production pomicole.

Attention, certaines règles encadrent la plantation d’arbres fruitiers, notamment pour les protéger des maladies et empêcher la propagation de celles-ci.

3. Doit-on tailler les arbres fruitiers?

Oui, mais il faut éviter les excès, recommande le site Espace pour la vie, qui abrite le Jardin botanique de Montréal.

En fait, vous devez tailler les arbres pour obtenir des fruits et assurer leur abondance le moment venu. Il faut être patient : certains arbres prennent plusieurs années avant de produire leurs fruits. La taille printanière, en mars et avril, est essentielle, rappelle La Presse.

4. Comment peut-on traiter les arbres fruitiers contre les insectes et autres parasites?

Un traitement bio des arbres fruitiers est possible. Par exemple, on peut installer des pièges à insectes dans lesquels on installe un appât.

La taille peut aussi servir à contrôler des maladies comme la brûlure bactérienne, si on agit avant que le tronc ne soit touché.

De façon préventive, il est recommandé d’enlever les feuilles au pied de l’arbre ou de les déchiqueter, ainsi que de mettre du paillis, afin d’éviter la propagation d’un champignon.

Finalement, en choisissant un emplacement bien ensoleillé et un sol approprié, on réduit les risques de maladie.

Pour protéger vos arbres fruitiers des petits rongeurs, le site La Ville en vert recommande l’installation de tubes à la base du tronc.

Des recettes savoureuses

Après bien des efforts ou si vous décidez de faire une cueillette en nature, vous pourrez profiter de bons fruits du Québec. Il ne restera plus que les recettes à trouver. Commencez vos recherches iciici ou .

Source : blogue de Centris : https://www.centris.ca/fr/blogue/ecolo/le-traitement-des-arbres-fruitiers-en-quatre-questions?uc=2

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Acheter un chalet : nos 5 conseils pour faire le bon choix!

Pour bon nombre de Québécoises et de Québécois, un chalet est synonyme de détente, de plein air et de grands espaces. En effet, acheter un chalet est un excellent moyen de décrocher de l’effervescence de la vie urbaine et de se reconnecter avec la nature, surtout pour les résidents des grandes villes.

Depuis le début de la pandémie, l’intérêt pour les chalets n’a fait qu’augmenter et le marché est autant actif que celui des résidences principales. On observe une hausse des prix des résidences secondaires, qui se vendent souvent en quelques jours.

Vous projetez d’acheter un chalet prochainement? Voici quelques pistes de réflexion pour vous aider à bien choisir votre future résidence secondaire.

1. Vérifiez la règlementation en vigueur

Quelques recherches auprès des instances municipales et provinciales peuvent vous éviter bien des soucis au moment d’acheter votre chalet ou lors de son utilisation future. Pour que votre rêve ne tourne pas au cauchemar, ne négligez pas de faire les vérifications suivantes avant de déposer votre offre.

D’abord, une propriété située à proximité d’un cours d’eau ou d’un lac peut être soumise à des contraintes environnementales. Ces dernières peuvent être un frein à vos projets d’aménagement ou de rénovation. Aussi, si la propriété est considérée comme étant située en zone inondable, informez-vous auprès de votre assureur des impacts que cela peut avoir sur la prime de votre assurance habitation.

Si le chalet possède un accès à l’eau, vérifiez si la baignade est possible et s’il y a des conditions pour l’utilisation d’embarcations nautiques.

Vous pensiez rendre disponible votre résidence secondaire sur des plateformes de location à court terme telle que Airbnb pour rentabiliser votre achat? Assurez-vous de le faire en conformité avec les lois provinciales et les règlements municipaux. En effet, il y a des municipalités qui interdisent la location à court terme dans certaines zones. Si le chalet fait partie d’une copropriété comme un domaine privé, vérifiez également les règlements de copropriété : les locations à court terme sont de plus en plus soumises à des conditions strictes, voire interdites.

2. Recherchez les services à proximité

Alors que certains rêvent de relaxer dans un endroit retiré à mille lieues de la civilisation, la plupart des propriétaires de chalet apprécient la possibilité de pouvoir faire l’épicerie, passer à la SAQ ou aller prendre un café à quelques minutes de voiture. Si c’est votre cas, n’oubliez pas de prendre le temps de visiter les commerces du quartier pour voir s’ils conviennent à vos besoins.

Que vous pensiez profiter de votre résidence secondaire pour faire du télétravail ou écouter des séries en rafale, assurez-vous que la région possède l’Internet haute vitesse.

3. Ne négligez pas l’importance de l’inspection préachat

Comme pour une résidence principale, c’est important de faire inspecter le chalet que vous convoitez par un expert. Cette étape peut vous éviter bien des soucis plus tard, surtout si la propriété n’est pas aménagée adéquatement pour l’hiver.

Demandez aussi à avoir un état de la situation des installations septiques et de l’accès à l’eau potable si la propriété n’est pas desservie par les services publics.

4. Considérez l’aspect financier.

Le prêt hypothécaire fonctionne généralement pareil pour un chalet ou une résidence principale, mais selon l’institution financière, les conditions et les montants maximums peuvent varier. Avant de faire quelque démarche que ce soit pour l’achat d’un chalet, consultez d’abord un courtier hypothécaire.

En possédant deux résidences, il ne faut pas oublier que certains frais (services, taxes) devront être payés en double. Selon l’état du bâtiment, de petits ou grands travaux seront peut-être nécessaires. Ainsi, veillez à bien évaluer les couts et à définir votre budget.

Si vous pensez revendre votre chalet dans quelques années, n’oubliez pas que le gain en capital est imposable à 50 % sur une résidence secondaire. En cas de doute, un fiscaliste saura vous orienter au moment venu.

5. Comptez sur les conseils d’un courtier immobilier.

Il y a tant de choses à penser et à vérifier quand vient le temps d’acheter une deuxième résidence. Les services d’un courtier immobilier sont un bon atout pour vous aider à trouver le chalet de vos rêves.